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Ciné Avenue

6 mai 2009

Le soleil se lève enfin sur le cinéma asiatique…..

 Si comme moi les blockbusters américain, avec toujours plus d’effets spéciaux et de moins en moins de scénario commencent à vous gonfler sévère, alors je ne peux que vous conseiller très fortement de migrer plein Est.

 J’ai remarqué depuis quelques temps (2001, hey oui je m'y suis pris tard !^^) que le cinéma coréen et japonais avaient une vidéothèque des plus intéressante.

 

Je vais vous présenter une petite sélection personnelle :

 

                                             Guns and Talks

gunsandtalkshaut

 


Titre Original : Killerdeului suda

Genre : Comédie

Pays : Corée du sud (2001)

Date de sortie : 15/04/2007

Durée : 122 Min

Réalisateur : Jin Jang

 

Ce film raconte l’histoire de 4 frères tueurs à gages, dont le point d’honneur est de satisfaire le client, et ce même si la façon de tuer doit devenir complètement farfelue….

 

 Il s’agit d’un film uniquement en vostfr quelque soit le support. Malgré cela ce film est sans aucun doute l’un des meilleur que j’ai pu regarder sur le sujet. L’ambiance est calme, peut-être trop pour certains…

Les acteurs jouent très bien leur rôle et la réalisation est vraiment bien maîtrisée. Comme peuvent le montrer les scènes du théâtre, où chaque plan appelle le suivant et où l’on peut remarquer une correspondance troublante entre ce qui se passe sur scène et dans la salle, et la seconde : qui est en fait une course poursuite entre le frère aîné et le flic. Scène magnifique qui commence dans un magasin et entraîne les deux personnages principaux dans un pas de deux «complice» 

 

 J’aime particulièrement cette dualité ambiguë entre les personnages considérés comme hors-la-loi et ceux qui sont censés représenter cette loi.

 

Ambiguïté que l’on retrouve dans le deuxième film :

 

 Running out of time

runn

Titre Original : Aau chin ; Running Out of Time (An Zhan)

Genre : Policier

Pays : Chine (1999)

Date de sortie : 04/03/2004

Durée : 90 Min

Réalisateur : Johnnie To et Wai Ka Fai

 

Ce film raconte l’histoire d’un voleur de talent qui se sait condamné par la maladie et qui décide de faire un dernier coup d’éclat. Cette décision tombe à point nommé puisque le meilleur flic de la ville commençait à s’ennuyer….

 

Ici le scénario complexe nous tient en haleine jusqu’aux tous derniers rebondissements. On assiste à un jeu du chat et de la souris remarquablement bien mis en scène et interprété, où les relations flic/voleur sont plus que subtiles. L’intelligence des personnages nous évite de voir le surplus d’effets spéciaux propre aux productions américaines, et franchement parfois ça fait un bien fou de voir autre chose que les éternelles courses poursuite et autres explosions.

Le prochain est dans la même lignée, puisque du même réalisateur :

 

 Breaking News


BreakingNewsAff

Titre Original : Dai si gein

Genre : Policier

Pays : Hong kong (2004)

Date de sortie : 23/11/2005

Durée : 87 Min

Réalisateur : Johnnie To

 

Lorsqu'une chaîne de télévision diffuse les images de la défaite cinglante d'une escouade de policiers face à cinq cambrioleurs, la crédibilité des forces de l'ordre est gravement remise en question. Peu de temps après, les malfaiteurs sont localisés et des milliers de policiers encerclent l'immeuble où ils se sont réfugiés décidant de ne pas en rester là avec les médias, l'inspecteur Rebecca décide de transformer l'assaut en show télévisé en équipant le casque des membres du commando d'une caméra sans fil avant qu'ils ne pénètrent dans le bâtiment. Mais à sa grande stupéfaction, les bandits ont eux aussi décidé de se servir de la télévision contre la police, et une guerre des médias se greffe à la bataille sanglante qui commence. Qui maîtrisera l'image ?

 

 Franchement, je ne sais pas si ce film, qui reste tout de même assez sombre, vous plaira, mais moi je l’ai vraiment apprécié. Le scénario comme pour les autres est bien fournit et recherché, et les acteurs nous donnent ici un sacré numéro. On retrouve toujours l’ambiguïté flic / voyous mais sur un autre degré et cette vision des choses est, pour moi en tout cas, une véritable bouffée d’air frais.

 

 On est loin des standards hollywoodiens qui donnent une vision très manichéenne des choses. Ici le héros n’explosera pas la moitié de la ville sous les acclamations enthousiastes de la foule, juste pour arrêter un voleur de sac à main. De toute façon dans ces trois films il est assez difficile de savoir exactement qui est le véritable héros de l’histoire…

 

Bien j’espère que ces quelques explications vous auront donné envie de regarder plus en détails ces films …. Alors Bon visionnage !!! 

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3 avril 2009

Hitman ou l’introduction de ceux qui ne se foulent pas….

Ce film même s’il ne se positionne pas dans le top 10 des meilleurs films du genre, ne s’en tire pas trop mal. Toutefois son gros point faible reste son introduction qui reprend, non seulement l’ambiance et les personnages de la série fantastique « Dark Angel » ( James Cameron, 2000) mais pousse jusqu’à reprendre quasiment images par images les scènes d’entraînements et de fuite des enfants.

Je doute que ce soit pour rendre un quelconque hommage à la série qui n’a tout de même pas beaucoup de rapport avec l’histoire du film…  Alors non, vous ne vous êtes pas tromper en achetant ce dvd ou en téléchargeant  (tout à fait légalement ^^) Hitman (26 Décembre 2007, Xavier Gens ).

Bien sûr ceux qui ne connaissent pas la série n’ont pas été dérangés par l’intro, mais quand même ! Peut-être y avait il grève des scénaristes à ce moment là, ce qui expliquerait en partie la reprise de scènes déjà existantes et la pauvreté du scénario restant…

Car même s’il est largement regardable, il faut bien avouer qu’il aurait mérité un traitement un peut plus poussée de  l’histoire ... fort heureusement les acteurs jouent bien ce qui sauve en partie le film.

Evidement le fait de voir une jolie femme nue sur 75% des scènes à dus également contribuer à son succès, maintenant la question est de savoir si cette particularité a été voulus pour combler les faiblesses du scénario ou si la « pauvre enfant », en voulant trop bien faire, à prit au pied de la lettre les paroles du réalisateur :

« - chérie tu joue un personnage tourmenté, alors met toi à nue ! »

Allez, ce film n’a pas que des défauts ! Il n’est pas trop « bourrin » et même si les scènes de combat (comme le métro) apparaissent comme improbables, elles restent sympathiques à regarder. Et, d’après moi, le fait que le héros soit un grand timide (surtout avec les femmes….) ne gâche rien ! Alors bon film !

Voici quelques images tirées de la série  « Dark Angel » et qui correspondent quasiment à 100% aux scènes d’introduction de Hitman.

montage_hitman

31 mars 2009

Star Wars: parallélisme des deux trilogies

Occupons nous à présent des deux trilogies Star Wars, et plus précisément aux parallélismes entre elles. En effet, on peut noter des similitudes. Certaines mauvaises langues diront que c'est par manque d'imagination de la part de Georges Lucas, alors qu’en réalité, ces ressemblances sont justement désirées.

On peut constater que les histoires d'Anakin et Luke sont assez similaires:

ils travaillaient pour d'autres (Wato et Oncle Owen) et rêvaient de beaucoup plus, ils furent "délivrés" par des Jedi (Qui-Gon Jin pour Anakin et Obi-Wan pour Luke). Du fait de leur âge avancé, on leur refuse tout d'abord l'apprentissage des Jedi, mais également à cause de leurs émotions. Mais finalement, Maître Yoda leur accordera cette chance. On notera également que le côté obscur de la force tentera de les séduire, et c'est là la grande différence entre ces deux personnages, Anakin cèdera là où son fils, Luke résistera. Tous les deux se ferons couper le bras droit lors du deuxième épisode de leurs trilogies respectives. Tout compte fait, seul les histoires sont très proches, seul le dénouement change.

Hormis l'histoire assez similaire de ces deux héros, d'autres parallélismes peuvent nous apparaître :

Episode I/ IV, Anakin/ Luke sauvent la situation.

Les héros débarquent sur Tatooine, en plein désert, la planète aux deux soleils.

A la fin de l'épisodes I/IV de Padmé/ Leia récompensent les sauveurs.

A la fin de l'épisode II et V, les méchants s'enfuient, on sent une sorte de chaos et les personnages principaux regardent au loin accompagnés de C-3PO et R2-D2.

Les héros se font aider par des autochtones : épisodes I et VI.

On remarque également qu’à la fin de chacun des épisodes, u Jedi perd son sabre laser.

De même ; on sent bien les liens entre les deux trilogies, par les lieux et personnages :

Jaba le Hutt, Chewbacca, Boba Fett dans les personnages secondaires. Sinon, on retrouve bien sur Maître Yoda, Darth Vader, Obi-Wan, l’Empereur, C-3PO et R2-D2.

La ferme des Skywalker, les vaisseaux de l’Empire. Ici, on pourra également remarquer des similitudes dans les images :

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A la ferme des Skywalker, épisodes II et IV

jabba1 jabba6

Jabba le Hutt

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La flotte impériale

tantivedroides tantivedroides4

C-3PO et R2-D2: fin de l'épisode III, début de l'épisode IV

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Fin des épisodes II et V

soleils soleils1

Les soleils de Tatooine

celebration1 celebration4

Célébrations des épisodes I et IV

Enfin, dans les paroles, on trouve des similitudes, mais là, il faut chercher dans la version originale, en effet, la phrase culte d’Obi-Wan «  Oh, i have a bad feeling about this ! », la phrase qui débute le générique : »A long time ago, in a galaxy far far away » et la phrase culte par excellence : « May the force be with you !».

Pour en savoir plus sur ces symétries, je vous renvoie sur ce site.

En effet, que la force soit avec vous !

Laurianne

29 mars 2009

Similitudes chez Disney (bis)

Il y a quelques temps, je parlais déjà des similitudes chez Disney, pour encore mieux illustrer mon propos, voici une vidéo qui ne trompe pas:

Surprenant, n'est ce pas?

Laurianne

29 mars 2009

Décors de cinéma

A présent, parlons d’un des éléments indispensables à la crédibilité d’un film : le décor. Pour qu’un décor soit réussi, il doit passer inaperçu, s’intégrer parfaitement à l’histoire, ce qui est assez paradoxal. Le décor, c’est l’art de l’illusion.

Ceux qui les conçoivent sont au croisement de plusieurs arts, comme le montre leurs différents noms, selon les pays : décorateur, art director, production designer, architekt… Ils sont là pour créer un monde issu de l’esprit, de l’imagination d’un réalisateur, et ce avec le plus d’astuces possible.

Les décors peuvent être pris « au naturel », c'est-à-dire dans un lieu déjà existant, mais également construits de toutes pièces ou bien encore conçus sur ordinateur.

Au tout début, les décors étaient de simples toiles peintes, héritage venant du théâtre. Mais, très vite, des décors se sont construits. On peut penser à ceux de Ben-Hur, ou plus tard, ceux de Cléopâtre. Les décors peuvent être mis en studios. De nos jours, beaucoup de décors sont rajoutés par ordinateurs.

Mais quelque soit  la technique employée, cet art a toujours autant d’importance.

cleopatre

Cléopâtre

benhur

Ben-Hur

Laurianne

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13 mars 2009

Similitudes sonores chez Disney

Comme nous l'avons déjà remarqué, de nombreuses similitudes se sont glissées dans les dessins animés de la firme aux grandes oreilles. Celles-ci ne sont pas que visuelles, mais sonores. Voici un exemple à télécharger ici: on peut y retrouver un thème similaire à tendance plutôt triste ou mélancolique. Dans l'ordre, les extraits viennent de La Belle au Bois Dormant, Les 101 Dalmatiens, Merlin l'Enchanteur, Le Livre de la Jungle, ainsi que de Robin des Bois. Ce thème musical fut composé par Georges Burns qui travailla également sur le film Les Aristochats. Et justement, on trouve une similitude de thème musical entre Les Aristochats et Le Livre de la Jungle, à découvrir ici. Un autre thème musical est similaire à Dumbo et Alice au Pays des Merveilles, ici. Mais ces exemples ne sont pas des « cas isolés » en effet, la musique du mariage à la fin de Cendrillon est le même que celui de Robin des Bois, tout comme les images (carrosse, gestes des personnages).
Cendrillon:

 

Robin des Bois:

De même, certains sons utilisés dans les films le sont également dans les cartoons. Et, nous avons encore de nombreuses similitudes à découvrir... dans un prochain article!

Laurianne

12 février 2009

Les Oscars: la petite histoire

Dans peu de temps aura lieu un grand évènement dans le monde du cinéma: la cérémonie des Oscars, les Academy Awards. Le 22 février se déroulera donc la 81ème cérémonie. L'occasion donc de parler de l'histoire de ces prix tant convoités.

Commençons tout d'abord par l'origine des Academy Awards.
Tout débute en 1927, lorsque le patron de la MGM, Louis Mayer crée l'Academy of Motion Picture Art and Science (AMPAS). Puis vient l'idée de remettre des récompenses. Dès lors, ç'a toujours été l'AMPAS qui organisa les Oscars. Ce nom, Oscar, ne viendra qu'en 1931, vraisemblablement à cause de Margaret Herrick, bibliothécaire de l'Academie, dont l'oncle se prénommait Oscar, ressemblant à une statue.
Le trophée, la statuette fut imaginée par Cedric Gibbons, responsable artistique de la MGM à l'époque. 

Les Oscars et l’Histoire :

-1932 : Walt Disney reçoit un Oscar d’honneur pour Blanche Neige et les Sept Nains, la statuette est composée d’une statuette normale et de sept petites. Il est également le premier à utiliser le terme Oscar.

-1934 : Claudette Colbert est la première actrice française à recevoir l’Oscar de la meilleure actrice, pour le film New York-Miami.

-1940 : Hattie McDaniel est la première femme noire à remporter un oscar (meilleur second rôle féminin), pour le rôle dans Autant en Emporte le Vent. Le film remporte au total 10 récompenses, un record pour l’époque, et inégalé pendant vingt ans.

-1958 : Il est interdit qu’un communiste remporte un Oscar.

-1966 : Ronald Reagan vient, mais en tant que gouverneur.

-1968 : Suite à l’assassina de Martin Luther King, la cérémonie est repoussée. C’est cette année là que la cérémonie est retransmisse pour la première fois sur les télés du mon de entier/

-1972 : Marlon Brando refuse sa récompense pour sa prestation dans Le Parrain, il envoie même une indienne se présenter pour dénoncer le rôle que l’on donne aux Indiens d’ Amérique du Nord dans les productions américaines.

-1976 : Lina Wertmuller est la première femme à être nommée pour l’oscar du meilleur réalisateur. Peter Finch reçoit le premier Oscar à titre posthume.

-1979 : A l’âge de huit ans, Justin Henry reçois un Oscar, c’est le plus jeune acteur à recevoir ce prix.

-1981 : Suite à la tentative d’assassina contre Ronald Reagan, la cérémonie est repoussée.

-1993 : Whoopi Goldberg est la première femme noire à présenter la cérémonie.

-1997 : Réunion de tous les lauréats encore vivants.

-1999 : Les Oscars sont volés avant la cérémonie.

Quelques chiffres à présent :

Le record du nombre d’Oscars obtenus pour un seul film est détenu par trois films :

-1959 : Ben-Hur

-1997 : Titanic

-2003 : Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi

Walt Disney détient le record du nombre d’Oscars remportés : 22 pour des films en compétitions et 4 Oscars d’honneur.

-John Williams est la personne la plus nommée : 45 nominations au total.

-Katharine Hepburn est l’actrice la plus récompensée : 4 Oscars.

-Jack Nicholson est l’acteur le plus récompensé : 3 Oscars.

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Le Seigneur des Anneaux: Le Retour du Roi, 11 Oscars

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Walt Disney reçoit un Oscar d'honneur , remis par Shirley Temple, pour le film Blanche Neige et les Sept Nains.

Laurianne

19 janvier 2009

Star Wars: les costumes

Star Wars: les costumes

Les costumes sont une part très importante dans un film, ils donnent le style, le mode, nous renseignent sur l’époque. Ici, je souhaite parler plus précisément des costumes dans les films Star Wars, car ils occupent une place importante.

Dans les épisodes IV, V et VI, les tenues sont simples, à cause de la domination de l’Empire, il faut donc s’habiller simplement pour ne pas se faire remarquer. Tel était le souhait de Georges Lucas. Mais ce dernier a également désiré à ce que les costumes des épisodes I, II et III soient plus recherchés, plus travaillés, car la société est plus sophistiquée. Il a même créé lui-même un des costumes de Padmé dans l’épisode II.

Dans l’épisode I, les costumes de Padmé sont très formels, ce qui est dût à son rang de reine. Leur complexité est incroyable. Dans l’épisode II, ses costumes sont plus vaporeux, moins cérémonieux, d’une part parce qu’elle n’est plus reine, mais également car c’est dans cet épisode que débute réellement sa romance avec Anakin. Dans l’épisode III, ses costumes sont plus longs, car elle cherche à cacher sa grossesse. Mais les costumes n’en sont pas pour autant moins beaux. Il est vrai que les costumes de Padmé sont impressionnants par leur finesse, leur originalité. Les créateurs ont en effet cherché de l’inspiration dans beaucoup de cultures différentes pour l’épisode I en particulier. De même, pour cet épisode, une robe a demandé plus d’un mois de travail pour être complètement réalisé. Sur une autre, on trouve un morceau de broderie qui date de 1910, et que les couturières ont incorporé avec succès.

Au département des costumes, qui compte environ 60 personnes, 1000 costumes furent créés pour un seul épisode, dont pas moins de 12 rien que pour le personnage de Padmé. Sur le tournage, la fragilité et la complexité de certains costumes nécessitent une présence constante et de régulières retouches à même le plateau.

Après avoir vu les costumes de Padmé, les autres s’en trouvent quelque peu éclipsés. Mais ils n’en sont pas moins intéressants. En effet, les costumes de Jedi sont tous différents. Par exemple, dans l’épisode III, la tenue d’Anakin comporte des bandes de cuir, ce qui est un rappel à son futur costume de Dark Vador. De même, les costumes des soldats ne sont pas tous similaires. Et les créatures typiques à cet univers ont-elles aussi leur propre style vestimentaire. Les recherches graphiques sont donc très poussées et très importantes.

Personnellement, je pense que les costumes de Star Wars font parti des plus impressionnants qui soient. Pour les avoir réellement vus, je peux dire qu’ils sont réellement splendides, d’une grande finesse, ils accompagnent l’histoire et, nous font croire à cette galaxie lointaine, très lointaine…

costumes

Laurianne

19 janvier 2009

Similitudes

Aujourd’hui, nous parlerons des similitudes dans les films de Walt Disney. En effet, si  l’on regarde attentivement les films, on remarque que certaines scènes les mouvements des personnages sont exactement pareils. Prenons par exemple la scène finale de La Belle et la Bête, la danse est la même que dans La Belle au Bois Dormant. En effet, les animateurs ont réutilisé cette scène par manque de temps. On retrouve également ces similitudes entre Blanche Neige et les sept nains et Robin des bois ; Le Livre de la Jungle et Winnie l’Ourson; Le Livre de la Jungle et Merlin l'Enchanteur. Il faut également savoir que l'animation est quelquechose d'extrêmement coûteux et que l'étude des mouvements est un processus très lent, il s'agit donc d'un gain de temps.

similitudes2 similitudes3

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Dans un prochain article, nous reviendrons sur ces nombreuses similitudes dans les films de Walt Disney...

Laurianne

19 janvier 2009

Le morphing

A présent, parlons un peu du morphing. Il s’agit de la transformation, de la mutation d’un corps. C’est un montage dans l’image. La première fois que cet effet fut employé, c’était en 1988, dans le film Willow. Plus tard, on le retrouve dans d’autres films tels que The Mask ou Terminator 2. Mais, nous nous intéresserons à cet effet dans le film Titanic, ou l’on trouve cette transformation à deux reprises : quand Rose et Jack fuient face au raz de marrée et, le plus marquant certainement, lorsque l’on passe du personnage de Rose en 1912, à celui de Rose en 1998 (voir image ci-dessous). On peut voir son visage vieillir, les rides apparaître… Le morphing permet de faire ellipse temporelle, une transition entre deux époques bien distinctes et crée donc ainsi une certaine continuité

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Laurianne

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